La vie associative

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Fiche n° 12

LA VIE ASSOCIATIVE

 

 

Vue d’ensemble

 

La vie associative dans notre commune est dynamique. Il y existe de très nombreux groupes et associations dans les domaines suivants :

 

Education permanente : 16 (sections de la Ligue des Familles, de Vie Féminine, de l’ACRF, des Femmes Prévoyantes Socialistes, des Equipes populaires, du MOC, …)

Mouvements de jeunesse : 25 (Scouts, Patros, Jeunes socialistes, …)

Maisons de jeunes : 2

Associations de 3ème âge : 10

Associations patriotiques : 16

Œuvres scolaires : 17

Comités de fêtes et salles de spectacles : 14

Associations à caractère social : 12

Groupements culturels : 56 (centres culturels, chorales, cercles villageois, sociétés folkloriques, groupes de théâtre,

Environnement et patrimoine : 4

Pays en voie de développement : 1

Groupements agricoles et ornithologiques : 18

Associations et groupements sportifs : 54

Commerce, tourisme, économie : 8

 

Les infrastructures communales à la disposition des associations sont les suivantes :

 

Culture : Espace de l’Hôtel de Ville à Herve, Centre culturel de Herve, les bibliothèques publiques de Herve, Chaineux, Bruyères, Grand-Rechain ainsi que la bibliothèque du Collège Marie-Thérèse.

Sports : Salles omnisports de Herve, de Grand-Rechain et de Battice (bientôt), plaine de sports de Herve, terrains de football de Battice, de Charneux, piste d’athlétisme de Herve, piscine de Herve

Vie villageoise : salles de Julémont, Xhendelesse, José, Grand-Rechain, Bolland.

 

Au budget 2000, les subsides de fonctionnement prévus par la commune de Herve au secteur associatif sont les suivants :

Groupements de jeunesse : 570.000

Education permanente : 600.000

Activités culturelles et artistiques : 1.388.000

Fêtes et loisirs : 1.877.000

Sports : 1.985.000

Aide sociale : 1.190.000

Associations sociales et familiales : 795.000

Commerce, industrie, tourisme : 897.000

Santé et hygiène : 230.000

Environnement et patrimoine : 26.000

Aide aux pays en voie de développement : 239.000

 

Notre avis

 

La vie associative est une richesse qu’il convient de préserver et d’encourager.

L’objectif doit aussi être d’assurer un certain équilibre entre les différents domaines ainsi qu’une présence correctement répartie sur le territoire (éviter les villages dortoirs sans vie associative).

 

La commune peut y contribuer par la mise à disposition d’une infrastructure adéquate, par l’octroi de subsides de fonctionnement ou de subsides exceptionnels et par une aide technique et logistique, mais aussi de manière plus indirecte par une plus grande intégration des associations dans le processus de réflexion et de décision dans les matières qui les concernent.

 

L’attribution des subsides doit être décidée de manière totalement transparente à l’écart de toute considération politique ou partisane.

 

Nous souhaitons également encourager le dynamisme en réservant une part des subsides à des activités ponctuelles sur base de projets présentés par les associations.

 

L’ensemble de cette matière devrait être confié à une commission consultative pluraliste de la culture et du loisir à créer.

 

Nos propositions

 

  1. Développer la vie associative dans des domaines peu favorisés : ex : maisons de jeunes, activités culturelles.

  2. Favoriser l’apport de connaissance et d’expertise des associations de terrain au travers de leur participation dans une commission consultative de la culture et du loisir et en assurant à cette commission un droit d’avis devant le conseil communal.

  3. Poursuivre de manière équilibrée et objective l’aide financière et logistique apportée aux associations en confiant l’établissement du projet de la répartition des subventions à la commission pluraliste de la culture et du loisir.

 

N’hésitez pas à nous transmettre vos propositions !

 

L’enseignement

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Fiche n° 13

L’ENSEIGNEMENT

 

Vue d’ensemble

 

La commune de Herve comprend, sur son territoire, les écoles suivantes :

 

    • 8 écoles fondamentales communales (Battice, Bruyères, Bolland primaire, Chaineux, Grand-Rechain, José, Julémont, Xhendelesse)

 

 

    • 3 écoles fondamentales libres (Bolland maternelle, Charneux, Herve)

 

 

    • 2 écoles fondamentales de la communauté française (Battice et Herve)

 

 

    • 1 école secondaire libre (CPH, IPH, CMT)

 

 

    • 2 écoles de musiques en décentralisation (Académie de Welkenraedt à Battice et Conservatoire de Verviers à Herve

 

 

Pour l’année scolaire 1998/1999, l’enseignement communal accueillait 2.844 enfants. l’enseignement libre 725 enfants et l’enseignement de la communauté française 234enfants.

2041 jeunes étaient inscrits dans l’enseignement secondaire (709 au CPH, 726 l’IPH, 606 au CMT).

 

Au cours de l’année scolaire 98/99 l’enseignement communal occupait 122 enseignants, dont 56 à temps partiel.

 

Le transport scolaire est assuré par le TEC pour toutes les écoles.

Des garderies sont organisées à l’initiative des pouvoirs organisateurs de chacune des écoles.

 

Notre avis

 

En ce qui concerne l’enseignement fondamental, nous pensons que les écoles fonctionnement de manière très individuelle, sans concertation, même entre les écoles d’un même réseau. Nous voulons dépasser le clivage des réseaux et favoriser l’échange et les projets communs.

 

La qualité d’une école dépend d’abord de son équipe pédagogique. Toute nomination doit se baser principalement sur les compétences pédagogiques des candidats. Nous voulons dépolitiser les nominations par une délégation à une commission scolaire du choix des enseignants.

 

En tant que pouvoir organisateur de ses écoles fondamentales, le conseil communal peut favoriser la participation des parents au projet éducatif de l’école par le biais du Conseil de participation, en lui donnant toute la place qu’il mérite.

 

Nous voulons encourager les pratiques civiques et l’éducation citoyenne dans les écoles fondamentales par une animation adéquate tant de l’équipe éducative que des enfants.

 

Enfin, en matière de sécurité, nous estimons qu’il est urgent de réaliser les aménagements nécessaires en vue de sécuriser les abords de certaines écoles (Xhendelesse, Charneux, …).

 

Nos propositions

 

  1. Sécuriser les abords des écoles par la recherche de solutions concertées avec les parents et les riverains 
  2. Mettre sur pied une commission scolaire chargée de choisir les enseignants et de proposer les nominations au Conseil communal.

  3. Donner la commission scolaire un rôle de surveillance du rôle effectif des Conseils de participation dans les écoles.

  4. Soutenir la formation permanente des enseignants dans le domaine de la citoyenneté en organisant des animations spécifiques et en encourageant la participation aux initiatives déjà existantes

  5. Créer une cellule pluraliste d’enseignants pour favoriser la concertation et les rencontres entre les différentes écoles, tous réseaux confondus, et promouvoir la réalisation de projets communs

  6. Appuyer le projet de l’ex-Ministre Nollet de créer des garderies scolaires communales accessibles gratuitement.

 

N’hésitez pas à nous transmettre vos propositions !

 

Les finances

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Fiche n° 14

LES FINANCES

 

 

 

Vue d’ensemble

 

La gestion financière d’une année débute par l’établissement du budget. Le budget prévoit toutes les dépenses et recettes de fonctionnement (service ordinaire) et d’investissement (service extraordinaire) pour l’année nouvelle. Il est préparé par le Collège et voté par le Conseil communal. Il peut encore être modifié en cours d’année par la procédure de modification budgétaire.

Le Collège est chargé de l’exécution du budget. Il devra en rendre compte au Conseil communal lors de la remise du compte après la clôture de l’année.

Le budget doit respecter le principe de l’équilibre, les dépenses ne pouvant être supérieures aux recettes.

 

Le compte budgétaire ne donne pas toujours un reflet objectif du résultat d’une année. Le bilan et le compte de résultats devraient donner une vue plus correcte de l’évolution de la situation financière de la commune au fil du temps.

 

Le compte de la commune de Herve présentait, pour l’année 1999, des dépenses ordinaires s’élevant à 513 millions et des recettes ordinaires totalisant 749 millions (dont 223 millions représente le boni reporté des exercices précédents).

 

Les principales recettes ordinaires proviennent :

– des impôts additionnels (impôt des personnes physiques, précompte immobilier, taxes autos) pour un montant total de 194 millions ;

– des taxes communales pour un montant total de 32 millions ;

– du fonds des communes versé par la Région wallonne pour un montant de 80 millions ;

– de la prise en charge par la Communauté française du traitement des enseignants à concurrence de 104 millions ;

– des dividendes versés par les intercommunales pour un montant de 59 millions (dont 23 millions de dividendes exceptionnels).

 

Les dépenses sont réparties comme suit :

– dépenses de personnel : 255 millions (dont 104 millions concerne le traitement des enseignants subventionnés par la communauté française) ;

– achat de fournitures : 24 millions :

– dépenses de fonctionnement : 77 millions ;

– charge de la dette (remboursement des emprunts) : 64 millions dont 9 millions sont pris en charge par l’état ;

– subsides accordés : 71 millions dont 40 millions au CPAS.

 

Les dépenses d’investissement engagées en 1999 se sont élevées à un montant total de 370 millions. Ces dépenses ont été financées ou seront essentiellement financées par le recours à l’emprunt

On notera toutefois que la réalisation des investissements ne représente que 36 % du budget prévu.

 

Notre avis

 

La situation financière de Herve s’est dégradée au cours des dernières années, comme le montre l’évolution de l’endettement. La dette à charge de la Ville est en effet passée de 383 millions au 31/12/1995 à 544 millions au 31/12/1999, ce qui représente une dette par habitant de 33.026 francs. En outre, les investissements engagés, mais non encore réalisés fin 1999, étaient très importants, puisqu’ils s’élevaient à 218 millions, dont la plus grande partie devra être financée par le recours à l’emprunt. L’endettement va donc encore inévitablement s’accroître de manière importante en 2000 et 2001.

Cette évolution négative résulte d’une politique d’investissement excessive par rapport aux ressources de la commune, ce qui, compte tenu de la faiblesse des subventions obtenues de la Région wallonne, conduit à un accroissement de l’endettement.

Elle est évidemment pénalisante pour les prochaines années puisqu’elle réduit les ressources disponibles.

De particulièrement saine, la situation financière de Herve est devenue préoccupante et la prochaine majorité devra se montrer particulièrement attentive à la maîtrise de l’évolution de l’endettement.

 

Cette situation est la conséquence de l’absence d’un plan d’investissement global et cohérent, qui serait établi sur base d’une analyse critique des besoins et mis en oeuvre en fonction des ressources dégagées par la commune.

Le budget extraordinaire témoigne bien de cette politique de promesses données tous azimuts et d’illusions sans lendemain, pratiquée par la majorité sortante. Nous connaissons tous plusieurs exemples de projets repris au budget d’une année à l’autre sans que nous en ayons vu la moindre ébauche de réalisation. En outre, les estimations des coûts sont rarement respectées, voire très largement dépassées.

 

La politique d’investissement ne peut plus être liée ni à des objectifs électoralistes, ni à des marchandages entre les villages de l’entité. Par l’établissement d’un plan d’investissement de législature (6 ans), nous voulons sortir des luttes d’influence et des querelles de clocher lors de l’établissement du chaque budget.

 

D’autre part, nous voulons consacrer une partie des ressources à réinvestir dans nos moyens de fonctionnement, tant humains que matériels, pour donner à l’administration les moyens nécessaires à offrir un service public de qualité dans l’intérêt commun.

 

Enfin, nous pensons qu’il faut rendre l’information financière plus accessible à la population.

 

Nos propositions

 

  1. Etablir au cours de la première année un budget d’investissement de législature sur base d’un état des lieux et d’une analyse critique des besoins.

  2. Réserver une partie des ressources disponibles à l’amélioration des moyens humains et matériels de l’administration communale.

  3. Exiger de disposer, dès le vote d’approbation du Conseil communal, d’une estimation réaliste des projets d’investissement.

  4. Organiser une information pédagogique sur le budget, les comptes et l’évolution de la situation financière de la commune.

 

      N’hésitez pas à nous transmettre vos propositions !

 

Réalisations passées et projets

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Fiche n° 15

LES REALISATIONS PASSEES ET LES PROJETS FUTURS

 

 

Vue d’ensemble

 

Les principaux investissements réalisés ou décidés au cours de la dernière législature (de 1994 à 2000) ont été les suivants (le coût mentionné est le montant des travaux à charge de la Ville) :

– aménagement de la rue des Ecoles et des carrefours limitrophes (19,6 mios) (1998)

– projet de revitalisation urbaine rue Jardon et rue Neuve (36,9 mios) (1998)

– salle de sports de Battice (45,9 mios) (1998) – acquisition d’une partie du Collège Marie-Thérèse et aménagement du rez-de-chaussée en bureaux administratifs (34,1 mios) (1998)

– école maternelle de Xhendelesse (16,2 mios) (1998) – agrandissement de la caserne des pompiers à Herve (14,8 mios) (1998) – extension de l’école de Bruyères (23,2 mios) (1996)

– école de Julémont (29,3 mios subventionnée à concurrence de 20,9 mios) (1997)

– Espace de l’Hôtel de Ville (20,3 mios) (1996)

– installations au Football Club de Battice (15,7 mios) (1996)

– achat des terrains et constructions des installations au Football Club de Charneux (45 mios) en 1994

– piste d’athlétisme (78,4 mios subventionnée à hauteur de 24,9 mios) (1993)

– égouttage de la rue d’Elvaux (55,4 mios subventionné à concurrence de 20,6 mios)

– école fondamentale de Chaineux (54 mios) (1992)

Les principaux projets en cours de réalisation sont :

– l’aménagement de la partie ancienne du Collège Marie-Thérèse en locaux administratifs pour le rez-de-chaussée et en logements sociaux pour les étages (estimation : 50 mios)

– l’aménagement de l’ancienne gare de Herve en centre touristique (estimation : 40 mios)

– la construction d’une tribune pour le Football Club de Battice

Au cours des 5 dernières années (de 1995 à 1999), la commune a investi un montant global de 575 (soit une moyenne de 115 millions par année), dont 285 millions dans les terrains et bâtiments, 180 millions dans la voirie et les canalisations d’eau (via la SWDE) et 97 millions dans du matériel.

Notre avis

 

Une commune, ce n’est pas une réalité virtuelle. Une commune, c’est une communauté de personnes. Et pour qu’une communauté de personnes soit vivante, il faut qu’elle se fixe des projets importants pour son bien-être actuel et futur et qu’elle puisse les réaliser.

C’est à ce niveau que la gestion passée de notre commune est la plus déficiente. Aucun projet global n’a été élaboré. Aucune initiative de réflexion générale, ouverte à la population, n’a été entreprise. La réalisation de travaux d’infrastructure risque alors d’être plus un problème d’opportunité que la mise en oeuvre d’un programme réfléchi.

 

Il est temps que cesse la politique du « oui-oui », qui laisse croire à la réalisation prochaine (mais quand ?) d’investissements sans jamais aboutir (nous avons certainement tous des exemples à fournir). A cet égard, le taux de réalisation des dépenses extraordinaires (qui reflète en quelque sorte le degré de respect des promesses données) est lumineux puisqu’il ne dépasse pas, en moyenne pour l’ensemble de la législature, 40 % du montant budgétisé.

Il est temps de faire place au parler « vrai » et au courage politique en faisant connaître clairement les choix prioritaires.

 

Investir, ce n’est pas seulement poser des briques et couler du béton. C’est aussi mettre en place des moyens d’actions permanents qui permettent à la commune de rendre à la population les services attendus et de jouer pleinement son rôle de gardienne du bien commun. Nous voulons privilégier l’investissement dans ces moyens d’actions permanents, peut-être moins spectaculaire que des travaux d’infrastructure, mais certainement tout aussi nécessaire pour assurer à tous l’accès au bien-être et la qualité de vie.

 

 

Nos propositions

Nous avons tous des besoins et des attentes inassouvies. ECOLO a de nombreux projets qu’il voudrait vous soumettre, que ce soit au niveau des services ou au niveau de l’infrastructure.

Vous pouvez découvrir nos projets au travers de nos propositions formulées dans chacune des fiches thématiques. Nous ne voulons pas leur donner un ordre de priorité ni un caractère définitif. Dans la logique de la conception de la gestion communale que nous défendons, nous pensons que c’est en concertation avec la population que l’autorité communale doit définir ses projets et proposer un ordre de priorité pour leur réalisation.

 

 

N’hésitez pas à nous transmettre vos propositions !

 

Développement citoyen, solidaire, durable

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Fiche n° 16

CREER UN DEVELOPPEMENT CITOYEN ,SOLIDAIRE ET DURABLE

 

Notre projet

 

Les nuisances que subit la nature, autant que les souffrances que vivent les hommes, sont également des signes d’un mal-développement qui se voit globalement sur la planète et localement dans les communes d’ici et d’ailleurs. Pour Ecolo, la faute en revient à une conception économiste du développement qui voit le progrès dans l’enrichissement monétaire individuel et la croissance à tout prix.

Face à cela, Ecolo prône une philosophie d’un développement équilibré et harmonieux entre les dimensions économiques, sociales et environnementales, un développement qui réponde aux besoins du présent sans compromettre les besoins des générations futures. Pour Ecolo, le progrès se mesure en terme d’utilité sociale. Cela nécessite d’avoir une vision à long terme, d’intégrer toutes les composantes dans le développement, de reconnaître le principe de précaution, d’élaborer une approche participative et responsable, de tenter de créer une conscience planétaire.

 

Dans cette vision du développement, les communes ont un rôle important à jouer, en étant un acteur décisif en matière d’information, de mobilisation et de sensibilisation pour que chacun prenne conscience de son propre intérêt concret et immédiat dans cet enjeu.

Pour y faire face, la commune n’est pas sans moyens. De l’économie d’énergie jusqu’au choix des matériaux de construction, de l’accueil des réfugiés jusqu’à l’application d’une pédagogie d’ouverture et de tolérance dans les écoles, chacun de ces actes multiplié par le nombre de communes peut peser sur les politiques d’une façon non négligeable.

 

Le développement durable doit être l’affaire de tous. Tous doivent le créer au niveau local en étant associés aux décisions et à l’action, dans le but de faire profiter tous les citoyens d’un niveau de vie qui permet d’aborder le présent et l’avenir avec confiance et sérénité.

 

Nos propositions

 

  1. Ménager et aménager notre espace de vie en développant et en soutenant toute initiative visant à protéger et à rendre agréable notre environnement (voir la plus particulièrement la fiche relative à l’aménagement du territoire). 
  2. Intégrer la notion de développement durable (critères écologiques et sociaux) dans toutes les actions et projets élaborés par la commune, notamment dans les critères d’attribution des marchés publics.

  3. Informer et sensibiliser la population en créant un service d’information communal sur le développement durable et la consommation responsable et en l’associant autant que possible à la démarche.

 

N’hésitez pas à nous transmettre vos propositions !