Indignez-vous : le livre de Stéphane Hessel

Vous trouverez, en annexe en format PDF, le livre de Stéphane Hessel, « Indignez-vous »

Sans doute l’avez-vous lu … mais si ce n’était pas le cas je vous invite vivement à le lire… quand vous aurez lu la première page vous serez avide de la suite et cela ne fait sous cette forme que 19 pages.

Stéphane Hessel à 93 ans, ancien diplomate et militant politique français, résistant au cours de la seconde guerre, il nous donne dans ce livre sa vision du monde actuel et des politiques qui y sont menées…

Un résumé de ce manifeste a été publié à l’époque de sa sortie (fin 2010) dans un article intéressant de l’Express

Bonne lecture, bonne réflexion… Téléchargement

Le revenu d’intégration

Infos sur le revenu d’intégration.

Les bénéficiaires sans enfants du revenu d’intégration qui cohabitent avec une personne sans-papiers sont souvent pénalisés.

En effet, nombre de CPAS ne leur accordent que le taux cohabitant, même si la personne avec qui ils vivent ne dispose d’aucune ressource. Dans ce cas, le ménage doit vivre avec 493,54 € par mois (les allocataires avec enfant à charge ne sont pas concernés : ils perçoivent le taux chef de famille).

Vu l’absence de directives claires de la part du SPP Intégration Sociale, Lutte contre la Pauvreté, Économie Sociale et Politique des Grandes Villes, les pratiques des CPAS sont très variables. Certains accordent le taux cohabitant, d’autres le taux isolé, d’autres encore décident cas par cas.

Le SPP Intégration sociale s’est cependant récemment positionné, via un courrier à la présidente du CPAS de Jette. Cette position peut maintenant être transposée à l’ensemble des CPAS : on peut considérer que pour tout bénéficiaire vivant avec une personne sans papiers, c’est le taux isolé qui doit être accordé et non le taux cohabitant.

Comme cela a déjà été fait avec succès dans certaines communes, cette information permettra sans nul doute à nos conseillers CPAS de faire valoir ce statut pour les bénéficiaires du RIS qui vivent avec une personne sans-papiers.

Au delà de cette prise de position du SPP Intégration sociale qui va dans le bon sens, il va de soi qu’Ecolo continue à se battre pour une individualisation des droits.

Lutte contre la pauvreté

Réponses d’Ecolopetition réseau wallon de lutte contre la pauvreté

Ecolo souhaite lutter de façon structurelle contre la pauvreté, vous constaterez d’ailleurs que bon nombre de nos candidats ont signé cette pétition.

Investir dans un enseignement de qualité

 

Offrir un enseignement de qualité qui permet l’égalité des chances est essentiel pour ecolo.

(suite…)

Espace pour la solidarité

AUJOURD’HUI :
A l’ère du SMS et d’internet, la communication est souvent difficile ou carrément absente. On ne connaît plus son voisin, on ne sait pas où trouver l’information complète et utile, ni à qui faire appel pour des services spécifiques.
Par ailleurs, le tissu associatif est plus dynamique que jamais et les initiatives ne manquent pas pour faciliter la vie du citoyen, que ce soit pour la garde des enfants, le covoiturage, ou encore les échanges de services.

NOTRE PROJET:     LA CRÉATION D’UN « ESPACE SOLIDARITÉ »

L’ESPACE SOLIDARITÉ sera à la fois :
guichet de l’information : quels sont les services à ma disposition ? à qui m’adresser ? quelles sont les aides dont je peux bénéficier ?
bourse d’échange de services : baby-sitting, jardinage, covoiturage, collections, passions, généalogies, … Les offres et services sont centralisés au sein d’une base de données actualisée ;
bourse pour jobistes : centralisation des candidatures des étudiants jobistes et des offres des employeurs, y compris les services communaux ;
organisateur d’évènements « rassembleurs » : soirées d’accueil pour les nouveaux habitants de la commune, participation à la journée « immeubles en fête », …

NOUS SOUHAITONS aussi :
Mettre en réseau toutes les associations à caractère culturel et social.
Faire bénéficier les associations herviennes d’étudiants jobistes pour l’organisation d’évènements. Ces étudiants seront en partie rémunérés par la Ville et en partie par les associations sous forme de chèques-culture ou chèques-sport.
Organiser un évènement interculturel participatif.

Stop à la maltraitance familiale

AUJOURD’HUI :

La maltraitance familiale reste de nos jours un sujet tabou.
Pourtant en Belgique, une femme sur cinq est victime de violence conjugale.
Peu de personnes osent déposer plainte car il subsiste souvent un sentiment de culpabilité et il n’est pas facile de pousser la porte d’un commissariat de police.
Les services d’aide aux personnes maltraitées se trouvent souvent dans les grandes villes.

NOTRE PROJET :     UN SERVICE COMMUNAL DE PREMIER ACCUEIL POUR LES VICTIMES DE MALTRAITANCE FAMILIALE

Nous voulons créer un service de premier accueil au sein du CPAS, en partenariat avec les services de police en vue :
– d’écouter la victime
– de l’aider et l’accompagner dans sa démarche de plainte
– de l’orienter vers les services d’aide adéquats
– de trouver avec elle un logement transitoire
– d’organiser, en partenariat avec les services existants, des modules de   sensibilisation et de prévention auprès des jeunes via les écoles.

NOUS SOUHAITONS aussi :

organiser, en partenariat avec les services existants, des modules de   sensibilisation et de prévention auprès des jeunes via les écoles ;

mettre en place un numéro vert (numéro d’appel pour les victimes) ;

coordonner ce service avec les médecins généralistes, souvent en première ligne dans la gestion des cas de maltraitance intra-familiale

intégrer la problématique de la violence familiale dans le plan zonal de sécurité et y former les policiers.